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    Votre petit blog préféré s'en est vu de toutes les couleurs... !

    Après maints bidouillages, j'ai enfin réussi à vous concocter un récapitulatif afin que vous puissiez vous y retrouver sans ouvrir toutes les lettres du dictionnaire pour regarder ce qu'elles contiennent.

    Il va sans dire qu'il sera mis à jour à chaque nouvel article.

    J'espère que vos visites en seront ainsi facilités.

    Merci à tous de votre fidèlité.

     

     


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    Et bien ne vous attendez pas à ce que je vous dise que cela est impossible... parce qu'il est tout-à-fait possible pour un être humain, de se rendre invisible aux yeux des autres.

    Il s'agit là d'un exercice de haute-école, l'un des plus difficile qui soient. Ce n'est certes pas par là qu'on commence quand on aborde l'étude des sciences occultes. Si vous voulez établir une comparaison, je vous dirais qu'à côté de l'invisibilité, le voyage astral est une d'une facilité déconcertante. Beaucoup de maîtres es-occultisme chevronnés n'y sont jamais parvenus.

    Il s'agit de parvenir à abaisser au maximum ses vibrations de façon à passer dans une zone où l'oeil humain ne peut plus rien percevoir. L'individu qui s'est rendu invisible peut toujours, lui, voir les autres normalement. Il est là en chair et en os, il peut rencontrer des obstacles, on peut se heurter à lui, mais il est invisible.

    Je tiens à répéter qu'on ne nage pas en plein délire, mais qu'il s'agit bien d'une des facultés "paranormale" que l'être humain peut développer, au même titre que la télépathie ou la clairvoyance par exemple. Seulement, il faudra à l'adepte beaucoup de temps et de persévérance pour parvenir à se rendre invisible, dans l'hypothèse où il y parvienne jamais.

     


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    Il nous reste maintenant à aborder un point plus important qu’il n’y paraît, au premier abord, mais qui peut servir si on veut tenter de situer la période de la guerre de Troie quelque part dans le temps.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Si vous avez lu l’Illiade et l’Odyssée, vous n’avez pas été sans remarquer le style particulier de l’épopée, la façon de s’exprimer des personnages qui les composent ainsi que leur comportement, propres à dérouter l’Homme de l’époque actuelle.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Bien sûr, là-dedans, il y a sans doute des formules poétiques et toutes fleuries qui furent ajoutées par la suite pour la beauté et la musique des vers. Mais oublions les « aurore aux belles boucles » et autres «semblable à un dieu » pour nous intéresser à l’essentiel : on dirait que ces gens sont d’un autre monde. Ils nous ressemblent extérieurement, mais ne réagissent pas comme nous le ferions nous et semblent toujours dire ce qu’ils pensent et agir en conformité avec leurs pensées. Quand ils disent à quelqu’un qu’ils l’aiment, c’est qu’ils l’aiment. S’ils ne l’aiment pas, il le lui disent aussi. S’ils ont envie d’adresser des reproches, ils le font sans plus s’embarrasser de savoir si le moment est bien choisi pour le faire ; et l’autre en face, sans plus se démonter, les accepte sans animosité. Il n’y a pas à dire : chez eux, il y a de la place pour la discussion sans violence ! Ils se battent certes, mais sans perfidie. Ils ne semblent pas haïr l’ennemi qui se voit bien souvent gratifié d’une estime qu’on aurait du mal à comprendre aujourd’hui. Ils ne semblent pas connaître les coups bas et les paroles qu’ils prononcent apparaissent parfois déroutantes de « simplicité ». En connaissez-vous beaucoup, d’hommes ainsi faits ? Moi je n’en ai pas encore rencontré un seul !<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Cependant, quelqu’un sort du lot : Ulysse. Pour le qualifier, un seul grand mot, « rusé ». Ah. Voilà Ulysse mis à part parce qu’il est rusé ! De nos jours, c’est celui qui ne l’est pas qui est à part… En ce temps-là, on était donc pas « rusé », on ne voyait donc pas le mal qu’on pouvait faire à son voisin en utilisant telle ou telle méthode, on avait donc pas l’idée d’agir par perfidie par fourberie par tromperie, on employait encore pas le mensonge comme l’usage en est largement répandu maintenant ? Et bien apparemment non. C’était pas monnaie courante. C’est du moins ce qu’on peut en déduire si on lit bien. Jusqu’aux troyens qui, plutôt que de se méfier en voyant le cheval laissé par l’ennemi sur la plage, abattent carrément les murs pour le faire entrer dans la ville sans penser à l’inspecter d’abord ! Voilà un comportement totalement incompréhensible pour les gens de notre époque. D’ailleurs, le coup du cheval, c’est Ulysse, parce que les autres n’y auraient jamais pensé tous seuls. Et l’ennemi en face, le troyen, n’ayant pas l’habitude de ces façons de procéder, aurait été bien en peine de deviner qu’on allait lui faire un tel coup vache (qui, je dois l’avouer, à l’air pourtant simpliste à nos yeux !)<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Et bien, ce n’est pas que pour les besoins de l’œuvre que tous ces gens sont ainsi, et si on a quelques connaissances, on se rend compte que les deux épopées nous parlent d’une époque où tout le monde était comme ça. C’était le modèle humain normal en ces temps. Ulysse est à part parce qu’Ulysse présente une caractéristique qui viendra plus tard, avec un autre genre d’Homme. Ulysse annonce une autre race, une autre ère, et il porte en lui le germe de l’ultime mutation dont nous sommes affectés aujourd’hui. Mais expliquons-nous :<o:p></o:p>

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    Notre monde vit, et il vit par grands cycles divisés chacuns en quatre périodes. Au cours de chaque cycle, nous avons ce qu’on appelle un âge d’or au cours duquel l’influence du Mal est presque nulle. Le Bien domine. Les gens s’entraident et s’entendent à merveille. La guerre faut-il le dire, n’existe pas (ne haussez pas les épaules, c’est très sérieux et très vrai).<o:p></o:p>

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    Puis vient un âge d’Argent où l’influence du Bien s’atténue quelque peu bien qu’il n’y ait pas encore de guerres. Mais il y a déjà place pour la discorde. Ceci dit, l’ambiance reste bon enfant.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Vient alors l’âge de Bronze au cours duquel apparaissent les guerres. Mais ce ne sont pas celles qu’on connaît. On se tue sans se vouloir du mal. On a pas encore la fourberie dans le sang. On ignore la ruse et la perfidie. En un mot, on est comme nos héros de l’Illiade.<o:p></o:p>

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    C’est enfin qu’apparaît l’âge de Fer, l’âge dans lequel nous sommes actuellement où le Mal a repris toute sa vigueur et où l’influence du Bien est quasi nulle (surtout pendant les 2000 dernières années de cet âge où toutes les forces du Mal sont déchaînées).<o:p></o:p>

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    A la fin de cet âge, petit à petit, le Bien recommencera à croître et nous entamerons un nouveau cycle avec un nouvel âge d’Or. Et ainsi de suite.<o:p></o:p>

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    Nos héros de l’Illiade et de l’Odyssée appartiennent encore à l’âge de Bronze. Sans doute cet âge tire-t-il à sa fin puisque des éléments annoncent déjà les Hommes de l’âge de Fer. Mais cet âge de Bronze, il y a  longtemps qu’il est fini ! Alors, les faits ne remontent-ils pas plus loin dans le temps qu’on ne le pense ? Je le crois.  Et s’ils dataient du temps de l’Athènes dont parle le prêtre de Saïs à Solon ? C’est tout-à-fait envisageable, savez-vous ? Après tout, toute la genèse de la Bible, les grandes épopées comme celle de Gilgamesh, le Mahabaratha, relatent toutes des évènements antédiluviens. Elles ont été transmises de génération en génération sans doute avec toutes les déformations que cela comporte, où alors, elles ont été perdues jusqu’à ce que quelqu’un les retrouve dans quelque écrit oublié et les remette au goût du jour en leur donnant leur forme définitive. Ainsi naissent les légendes.<o:p></o:p>

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    Il est un détail de l’Illiade qui à mes yeux, a une importance capitale pour situer approximativement l’époque à laquelle s’est déroulée l’affaire de Troie. Evidemment, ce détail n’aura aucun impact sur ceux qui se fient à la science qui, elle, devient totalement aveugle quand il faut ne rien voir.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    On nous dit dans l’Illiade, que c’est Idoménée qui mène l’armée crétoise contre Troie. Or Idoménée est un petit-fils du célèbre roi Minos, lui-même fils de Zeus (décidemment, il en aura semé partout celui-là !) et d’Europe. Il paraît qu’il y aurait eu plusieurs Minos, mais rien ne vient le prouver. Toujours est-il que le grand-papa d’Idoménée est bien LE grand Minos, celui du labyrinthe, du minotaure, etc… C’est aussi celui qui a donné son nom à la civilisation minoenne qui, d’après les spécialistes, se serait épanouie entre –2700 et –1200 av. JC.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Or, maintenant que nous savons que les « dieux » ont réellement existé (les archives akkashiques, toujours elles, sont là pour le prouver), il devient plus difficile de croire encore que Minos ne fut qu’un roi légendaire, ce fichu Zeus ayant effectivement fort bien pu l’engendrer. Il ne fut pas le premier roi de Crète, mais un des premiers, et si nous nous référons à la date de – 2700 av. JC pour situer les débuts de la civilisation crétoise, nous pouvons en déduire que Minos vécut aux alentours de celle-ci (on est plus à 100 ans près !) Son petit-fils Idoménée que peu d’années séparent de lui pourrait donc fort bien avoir vécu aux environs, mettons, de –2500 av. JC. Et Idoménée est allé à Troie ! Voilà qui change déjà la donne. Et d’après la mythologie, car curieusement tout coïncide, Minos est contemporain des pères de ceux qu’on retrouve à Troie : ça ne s’invente pas. Si tout n’avait été que balivernes, il y aurait eu des recoupages, des invraisemblances dans les textes.  <o:p></o:p>

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    Mais je vais aller encore plus loin.<o:p></o:p>

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    Les scientifiques nous ont dit que la civilisation minoenne aurait débuté vers –2700 av. JC. Mais comment en sont-ils sûrs ? D’autant plus qu’on a pas encore réussi à déchiffrer la linéaire A, l’écriture des anciens crétois, par laquelle on en aurait peut-être su davantage. Ce n’est pas parce qu’on ne retrouve rien au-delà d’une certaine date qu’il faut en déduire qu’il n’y a rien eu avant, ou alors de gros barbares primitifs qui, en l’espace d’un petit millénaire, frisent le génie. Le temps qui passe, les cataclysmes et catastrophes en tout genre retournent tout et plus rien n’apparaît.<o:p></o:p>

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    Je pense que la civilisation crétoise est bien antérieure à cette date de –2700 av. JC. Minos et Idoménée ont peut-être vécu encore bien avant elle, et puisque Minos fut un des premiers rois de Crète, il n’est pas possible de le placer ni au milieu, ni à la fin. On est déjà loin des dates habituellement reconnues pour la guerre de Troie qu’on situe généralement vers –1450 av. JC.

     

    On va peut-être me dire : mais il y a quelque chose qui cloche ; c'est bien ce Minos qui demandait tribut à Athènes chaque année, pour les petits quatre-heures du minotaure ? Si on remonte trop loin dans le temps pour le situer, on ne trouvera pas d'Athènes puisqu'elle n'existait pas encore. C'est bien la preuve que Minos and Co c'est une légende. Ah évidemment, si on cherche l'Athènes du Parthénon, on ne la trouvera pas.

    C'est pour cela que j'ai fait allusion, dans la première partie, au Critias de Platon. Ce ne sont pas des imbécilités que le prêtre de Saïs raconte à Solon : il lui dit que les grecs de son temps ont perdu le souvenir de l'Athènes de jadis qui s'était battue contre les "atlantes" pour ne pas voir son territoire envahi. Ce n'est pas une belle histoire inventée de toutes pièces que Platon nous raconte. Athènes est une très très très vieille cité qui avait sans doute perdu de son ancienne splendeur au  premier millénaire avant notre ère, mais qui a perduré à travers les temps, jusqu'au moment où on situe son "apparition", historiquement parlant. Donc, on peut être sûr qu'à n'importe quelle période des douze mille dernières années, elle était là.

    A quelque époque qu'aient vécu Minos, Idoménée et autres Achille et Ménélas, Athènes était présente.

     <o:p></o:p>

    Cette civilisation crétoise avait le taureau pour emblème. Tout tournait autour du taureau. Ce taureau, on le retrouve dans beaucoup d’autres civilisations contemporaines de la Crète. On retrouve d’ailleurs le taureau très souvent dans la mythologie grecque. Oui, curieux n’est-ce pas ? Et pourquoi donc ? (là je vais faire hurler ; cependant, n’ai-je pas dit que je n’étais pas une scientifique ?) : mais tout simplement parce que notre temps est divisé en époques correspondant aux signes du zodiaque et qui durent environ 2000 ans chacunes.<o:p></o:p>

    Nous entrons dans l’ère du Verseau qui ira jusqu’aux environs de 2200. En remontant le temps, nous avons eu l’ère des Poissons de l’an 2000 à 0. Avant, il y eut l’ère du Bélier, de 0 à –2000, et avant encore, l’ère du Taureau, de –2000 à –4000 av. JC. Et c’est là que se situent les grandes civilisations du taureau dont faisait partie la Crète minoenne. Bizarrement, même pour les Achéens de la guerre de Troie, le taureau représente quelque chose d’important. On le retrouve dans les légendes, et lorsqu’on veut être vraiment agréable aux dieux, lors des grandes cérémonies, c’est un taureau qui est sacrifié. Et curieusement, durant l’ère suivante, ce sont des béliers que partout on sacrifiera.<o:p></o:p>

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    Oui… bizarre vraiment, ne trouvez-vous pas ? On s’éloigne bien de cette date de –1450 pour la guerre de Troie… <o:p></o:p>

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    Suite et fin dans le prochain article.<o:p></o:p>

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    Schliemann a cru à la véracité du récit de l’Illiade. De là à dire qu’il lui a accordé une entière créance, il y a un pas que je ne franchirais pas parce que je n’en sais rien. Eh oui, il est quand même difficile de TOUT croire là-dedans ne serait-ce que parce que les dieux sont étroitement mêlés à la guerre.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Non seulement leurs rejetons se battent comme des chiens, mais eux-mêmes, plutôt que de calmer les ardeurs de chaque camp, attisent les haines et excitent les combattants les uns contre les autres, contents qu’ils sont de faire s’entre-tuer les Hommes.<o:p></o:p>

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    Or, les dieux, généralement, on y croit pas trop, et lorsque un récit fait intervenir les dieux, on le regarde immédiatement comme pure invention, légende où il y aurait peut-être un zeste de vérité sur fond de merveilleux inventé de toutes pièces.<o:p></o:p>

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    Et bien, moi, je vais aller plus loin certainement que Schlieman n’est allé, et je vais déclarer que l’épopée relate des faits réels. Il y a certainement eu des enjolivements, certainement eu des faits inventés ou modifiés au cours des âges avant que le récit n’arrive aux grecs, parce que tel qu’on le connaît, eux le connaissaient, mais ma conviction est que ce n’est pas une légende, pas plus que l’Odyssée quand on sait interpréter correctement tout le fantastique qu’elle semble comporter. Mais d’où vient cette manie de penser que les anciens ne racontaient que des blagues ? Ils n’étaient pas plus idiots que nous ; simplement, il y a des choses qui dépassaient leur entendement, qui ont été relatées avec les expressions dont ils disposaient pour les expliquer. <o:p></o:p>

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    Et maintenant, on attaque.<o:p></o:p>

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    Si, comme je vous en avais prié, vous avez lu ou relu l’article intitulé « Mythologies », vous savez maintenant que les soi-disants dieux de l’Olympe ont réellement existé. Je ne reprendrais donc pas ce que j’ai déjà dit. Ces dieux qui n’en étaient en fait, pas, se sont mélangés un peu partout avec les gens de notre monde et selon vous, qu’est-ce que ça a donné ? Ce qu’on a appelé des demi-dieux. Vous pouvez donc croire la mythologie quand elle vous dit que tel ou telle était fils ou fille de tel « dieu » ou de telle « déesse ». Evidemment, autour de ces demi-dieux, il y a plein de trucs incroyables. Ca, c’est la légende, laissez tomber et n’allez qu’à l’essentiel. On ne vous demande pas de croire dur comme fer que la mère d’Achille l’a plongé tout bébé en le tenant par un talon pour le rendre immortel !<o:p></o:p>

     Les « dieux » ont existé et par extension, les enfants qu’ils ont eu de « mortels » aussi. Ce qui nous amène à tenir pour vraie l’existence d’Achille et autres morveux de son espèce, tous pleins de l’arrogance que leur conférait leur illustre géniteur.<o:p></o:p>

    C’est sûr qu’ils différaient du commun puisque ils étaient plus grands et plus forts que la normale, du fait que leur « divin » parent était lui, bien plus grand encore que les pauvres humains. L’accouplement de « dieux » et de mortels ne fut d’ailleurs pas toujours sans mal du fait de la différence de taille. Mais ne nous égarons pas et récapitulons :<o:p></o:p>

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    1er point : le récit dit vrai quand il fait intervenir des dieux mauvais comme la gale et lorsqu’il met en scène leurs enfants, les demi-dieux. Savoir si tous les demi-dieux en étaient réellement est une autre affaire.<o:p></o:p>

    Et là où ça se corse, c’est quand on sait que les dieux, à la date à laquelle on situe les évènements, n’étaient déjà plus là depuis pas mal de temps, plus exactement depuis l’affaire de Sodome et Gomhorre (voir l’article correspondant). Or voilà qui nous mène à l’époque d’Abraham que la Bible situe aux alentours de – 1800 av. JC. En vérité, Abraham vécut un peu avant, disons entre –2200 et -2000 avant JC. On ne va pas chipoter, hein ?<o:p></o:p>

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    Donc pour avoir des dieux règnants sur Terre en pleine gloire, comme à l’époque de l’Illiade, il faut remonter encore plus haut dans le temps.

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    Et la suite sera dans le prochain article. <o:p></o:p>

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