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    N'en déplaise à ceux qui ne voudront voir ici qu'éllucubrations, je tiens encore une fois à préciser que ce qui va suivre est l'exacte vérité, telle qu'elle peut être vérifiée par la consultation du document akkashique qui restitue depuis l'aube des temps tout ce qui s'est passé dans n'importe quelle partie de l'univers (v. article correspondant).

    On connait sous le nom de Jésus, dont la traduction est Sauveur, le dernier Christ ou Messie venu sur Terre. Avant lui, il y en avait eu d'autres. Par cycle de temps, il vient à peu près tous les deux mille ans douze messies. Lui était le dixième de ce cycle de temps, c'est-à-dire qu'il doit encore en venir deux comme lui avant la fin de cette ère et le monde entrera alors dans une ère nouvelle. (se reporter à l'article sur le Christ n'est pas inutile)

    Historiquement, nous n'avons aucune preuve de l'existence de Jésus, tout juste une petite mention dans un ouvrage de Flavius Josèphe et encore, comment peut-on être sûr qu'il s'agit bien du même Jésus, ce nom étant très répandu à l'époque. Par ailleurs, ce nom de Jésus peut fort bien n'avoir été qu'un surnom donné par ses adeptes et pas son véritable nom. En outre, est-on vraiment sûr qu'il a vraiment vécu à l'époque où on le situe puisqu'on ne trouve mention de lui nulle part dans les archives de ce temps-là ? Bref, nous ne connaissons Jésus que par la Bible qui ne nous en dit que ce qu'elle veut bien, c'est-à-dire pratiquement rien d'exact et les enseignements originaux de Jésus, quelque peu différents de ceux que rapporte la Bible, sont à jamais perdus car il n'a rien laissé par écrit et ceux qui laissent à penser qu'on les retrouvera un jour ne disent pas la vérité.

    Jésus est venu au monde de la façon la plus naturelle qui soit, d'un père et d'une mère mariés comme tout le monde, et comme tout le monde, il ont fait leur enfant. Marie ne fut vierge qu'avant son mariage, ce qui n'enlève rien à sa chasteté, et Jésus avait des frères et des soeurs de sa même mère. Il fut d'ailleurs lui-même marié et eut des enfants à son tour, chose toute normale de la part d'un juif dont on ne pouvait imaginer qu'il reste célibataire. Un juif célibataire, à son époque, cela n'existait pas. Ses disciples d'ailleurs l'appelaient "rabbi". Or il est tout-à-fait inconcevable que les juifs appellent ainsi un homme non marié.

    Il fut décidé que le christ viendrait dans une famille du peuple, de façon à ce que son enseignement touche les nombreuses petites gens qui n'auraient en aucune façon, accueilli favorablement la parole d'un homme issu d'un milieu plus favorisé, si éminent eut-il été. 

    Marie fut avertie du genre d'enfant qu'elle attendait, non pas par un ange, mais par un envoyé des Jardiniers de la Terre, le fameux Gabriel qu'on retrouvera plus tard avec le prophète Mahommet. Fait on ne peut plus  normal puisque ces êtres vivent considérablement plus longtemps qu'un humain et que le prophète était aussi l'instrument de la volonté "divine".

    Il est né non pas dans une étable, mais dans un caravansérail et la fameuse étoile au-dessus de la crèche, que beaucoup n'ont pas manqué d'apercevoir, n'était autre qu'un vaisseau de nos créateurs qui était là pour surveiller si tout se passait bien et pour qu'il n'arrive rien à ce bébé si précieux au bon déroulement du plan qu'ils avaient établi. Ne voulant pas faire les choses à moitié, ils envoyèrent des gens à eux sur Terre, prêts à intervenir au cas où... Ceux-ci donnèrent naissance à la légende des rois mages.

    Pendant sa jeunesse, Jésus eut pas mal de démêlés avec le clergé de son époque parce qu'il avait l'habitude de ne pas mâcher ses mots et à un moment, il dut partir. Mais il n'erra pas dans le désert, ainsi que le laissent entendre les Ecritures. Il alla beaucoup plus loin, jusqu'en Inde et au Tibet. Ces deux pays attestent d'ailleurs de son séjour et il y laissa un souvenir impérissable. C'est là-bas qu'il mis en place les bases de la religion qu'il devait fonder, s'inspirant des principes des religions orientales.

    C'est là-bas aussi, en Orient, qu'eut lieu la transmigration (voir article correspondant), et non dans la Grande pyramide d'Egypte comme on peut le lire parfois. Le premier occupant du corps fut libéré et à sa place, arriva l'Elu, le Christ. Cet être était un très haut personnage parmi nos créateurs, qui s'est porté volontaire pour venir ici-bas afin de remettre l'humanité sur le droit chemin en lui rappelant des principes élémentaires et fonder une nouvelle religion. Il était vraiment, ainsi qu'il le disait, fils de "dieu" (mais pas de Dieu), et il est totalement erroné de croire qu'il n'est venu que pour mourir sur une croix de façon à racheter nos péchés par son sang. Tout ceci n'est que pure invention.

    Puis celui qu'on connaissait sous le nom de Jésus mais bien différent du premier Jésus, prit le chemin du retour et commença à répandre la religion qu'il avait mise au point. Il n'eut pas, comme on pourrait le croire, une foule d'adeptes de son vivant. Même, il passait pour une sorte d'agitateur. Mais il avait compté sans le clergé qui se souvenait de lui et qui l'attendait au tournant. C'est ainsi qu'il fut condamné à la crucifixion. (Crucifixion, soit dit en passant, dont on ne retrouve aucune trace dans les archives romaines de l'époque de Pontius Pilatus. A croire que Rome ignora totalement l'évènement). Donc, ennuyés par cet incident qui n'était pas prévu au programme, nos créateurs voulurent, dans un premier mouvement, aller délivrer leur homme. Puis ils se ravisèrent, pensant que la nouvelle religion aurait ainsi plus d'impact sur les foules et ils laissèrent faire. L'importance n'était pas grande puisque le corps n'était pas le véritable corps du Christ et ce n'était qu'un mauvais moment à passer avant qu'il ne retrouve son corps véritable. Ca n'a pas du être l'avis du Christ si on songe à ce qu'il aurait dit sur la croix : "mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Il devait être persuadé que les siens viendraient à son secours, le pauvre ! Vous parlez d'une surprise qu'on lui avait réservée...

    En ce qui concerne le phénomène de la résurrection, là aussi il y a une phénoménale erreur. La crucifixion n'a probablement pas tué le christ. Il faut savoir qu'un être mis en croix mourait non pas de la crucifixion elle-même, mais d'asphyxie car, le corps étant pendu par les poignets, le thorax ne pouvait se dilater correctement à cause de l'étirement provoqué par le poids. Aussi, pour achever le condamné, avait-on pour habitude de lui briser les jambes d'un coup sec. L'autre cherchait ainsi son souffle sous le coup de la douleur et du choc, ne le trouvait pas et mourait. Or le christ n'a jamais eu les jambes brisées, c'est un fait avéré. Il a donc fort bien pu tomber en léthargie ou en catalepsie, un état qui, en apparence, ne diffère en rien de la mort et être réveillé par la suite.

    Le christ n'a jamais enseigné la résurrection des corps, mais la réincarnation qui a par la suite été rayée des Ecritures, le clergé considérant que cette idée ne pouvait être que nuisible car si les gens y adhéraient, il était à craindre qu'ils n'accumulassent les dettes en se disant qu'ils auraient tout loisir de payer dans une autre existence. Je pense quant à moi que ce même clergé était surtout soucieux de conserver son emprise sur les foules, emprise qu'il aurait alors considérablement perdue si les gens avaient été persuadés qu'on ne mourait pas qu'une fois. 

    Il vous sera peut-être donné de lire, au sujet de Jésus, que trois entités occupèrent le même corps, à savoir le premier Jésus, puis le Christ, puis le Logos (??? qu'entend-on par là ? Dieu lui-même, la parole divine ? mystère...) Tout ce monde dans le même corps, madame, ce qui expliquerait, parait-il, la sainte Trinité. C'est faux ou alors mal compris : il y a eu un premier occupant du corps de Jésus qui est parti pour laisser la place au Christ, le second occupant. Il n'y a pas eu de Logos. Pour quoi faire d'ailleurs, puisque le Christ lui-même était le porte-parole de "Dieu". Un ambassadeur n'a pas besoin d'être investi par l'esprit du président ou du monarque pour parler au nom de celui qu'il représente. Même chose pour le Christ qu'on peut considérer comme un ambassadeur de Dieu sur Terre.

    Celui qui fut notre dixième christ vit très certainement encore à l'heure actuelle, mais très loin de nous. Les affaires de ce monde ne le regardent plus et il y a fort à parier que nous ne lui faisons plus trop de soucis. Ce n'est pas lui qui reviendra mais un autre car ils ne reviennent pas deux fois de suite en enfer, et il l'a dit lui-même : "un autre viendra...". Il ne parlait évidemment pas du Prophète Mohammed, mais bien d'un autre Messie. Car il nous a dit qu'il n'était pas le seul de son espèce dans la parabole du propriétaire du champ, mais ceux qui n'ont pas d'oreilles ne peuvent pas entendre, n'est-ce pas ? :o)

     

     


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