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    Voilà deux sujets dont il y a longtemps que je veux parler et qui, en apparence, n'ont aucune attache avec le paranormal. En apparence seulement, car que qualifie-t-on de paranormal ? Mais tout ce qui sort de la réalité quotidienne, de ce dont on a l'habitude. Ainsi, un bête naufrage dû à des écueils relève de la normalité, tandis qu'un naufrage inexpliqué alors que les conditions de navigation sont bonnes relève, lui, de la paranormalité, de l'inhabituel. Je ne pense donc pas faire un hors-sujet en disant deux mots ici de ces deux bâtiments tout-à-fait différents l'un de l'autre et dont les destinées pourtant, se rejoignent.

    Lorsque j'ai vu remontée à la surface, l'épave du Bugaled (pardon les bretons, je crois qu'on devrait dire exactement Bugale Breizh) j'ai eu un choc. Parce que au départ, je croyais comme tout le monde ou presque, que le bateau avait vraiment été heurté par un sous-marin comme on veut nous le faire croire. Or qu'est-ce qu'on a vu ? la coque avant complètement écrasée par la même marque, de chaque côté sous la ligne de flottaison, exactement comme si le Bugaled avait été saisi entre deux énormes pinces pour être tiré vers le fond en moins de temps qu'il ne faut pour dire "ouf".

    Les marins ont-ils eu le temps de "voir" ce qui les a ainsi entrainé ? Pas sûr si rien de visible n'a affleuré à la surface de l'eau, mais on peut se poser la question de savoir ce qui se serait passé s'il y avait eu un ou deux survivants... Leur aurait-on laissé le loisir de raconter ? Parce qu'il est bien évident qu'on nous considère comme de parfaits idiots en tentant de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Aucun sous-marin, seul de surcroit, n'a pu faire ces marques de chaque côté du navire, pas plus que des filets dérivants ou quoi que ce soit d'autre. D'ailleurs, je crois que l'enquête piétine à ce jour, et elle piétinera jusqu'au moment où elle ira rejoindre la grande famille des mystères inexpliqués, aux oubliettes.

    Mon avis est que le Bugaled Breizh a croisé sur sa route "quelque chose" qu'il n'aurait pas dû croiser, que les marins ont peut-être vu ce qu'ils n'auraient pas dû voir  et que ce "quelque chose", pour se protéger et pour éviter qu'ils ne parlent, les a entraînés par le fond en les saisissant avec cette pince. A moins... à moins que le navire n'ai rencontré une énorme créature marine. N'oublions pas que nous ne savons rien de ce qui vit au fond des océans et rien de ce qui pourrait venir de l'intérieur de la planète, par le fond des mers.

    Une chose est sûre : le Bugaled Breizh a rencontré soit l'un, soit l'autre.

    Quant au sous-marin Koursk, son histoire est très semblable avec un petit plus : on peut être certains que les marins ont vu à quoi le bâtiment avait à faire et ont eu le temps de le raconter par radio, sans quoi, on ne les aurait pas laissés délibérément mourir. En effet, là où on peut, sans trop de peine, s'assurer du silence de quelques hommes, il devient beaucoup plus difficile de le faire au niveau d'un grand équipage... et dans ce cas, on a guère d'autre choix que de faire taire tout le monde définitivement si on ne veut pas que le monde entier sache qu'il existe "quelque chose" au-dessus des petits gouvernants de la planète.

    Encore une fois, mon avis est que le Koursk a rencontré un engin dont on voudrait nous faire ignorer l'existence. Peut-être s'est-il montré menaçant pour lui et l'autre à riposté ? Toujours est-il que Moscou a très certainement eu le temps d'être mis au courant de ce qui a provoqué l'accident, c'est pourquoi on a choisi volontairement de sacrifier l'équipage du sous-marin pour éviter que le monde entier connaisse la vérité, alors qu'on aurait tout-à-fait pu le sauver.

     

     


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